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Le Parisien, 2 juillet 1890

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Le Parisien
2 juillet 1890


Extrait du journal

Ôr, c'est là ce qui a fait délaisser petit à petit Victor Hugo, car îe pu* bloc. malgré les pâmoisons de certains admirateurs « quand même », n’a pas retrouvé dans la « Légende des Siècles », les « Quatre vents de l’Esprit » et V « Ane » le^charme,la simplicité grandiose et i humanité des sentiments exprimés dans les « Contemplations ». 11 s’est déclaré incompétent pour apprécier les thèses philosophiques de «Religions et Religion », ou plutôt (les hommes n’avouant pas leur infériorité) il a dédaigné d’^n prendre connaissance et s’e^t môme permis d« hausser les épaules. Ëq quoi il a eu tort* c’est incontestable ; mais, à qui la faute ? Ëh I à ceux qui l’ont trompé en lui dorant la pilule, en essayant de lui faire croira que « Margarita » valait...
Le Parisien (1888-1945)

À propos

Le Parisien est un quotidien ayant paru entre 1888 et 1945, dirigé par Maurice Guillemot. Paraissant à midi, il s’intéresse en priorité aux actualités de la ville de Paris, quoiqu’on y trouve aussi des articles concernant la politique à un niveau national.

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