Extrait du journal

* * # Le cas a été parfois offert aux discussions. Deux soldats prennent part à une guerre en pays barbare. Les blessés ne peuvent guerre attendre de secours, et ces deux hommes se sont juré mutuellement, en raison des circonstances exceptionnelles de l'expédition, que si l’un d'eux était mis hors de combat, l’autre, comme une grande preuve d’amitié, l’achèverait pour lui épargner le supplice d'une fin lente et terrible. Là, l'acte de tuer, de rendre plus prompt le dénouement fatal, est-il amnistiable ? Peutil être considéré vraiment comme un trafique service rendu ?...