Extrait du journal

En entrant dans le modes le atelier de la rue des Beaux-Arts, deux pièces petites au fond de la cour, où rien du" luxe moderne n’a jamais par être, et qui sont la tliébaïde de travail d’un véritable artiste, une conversation eue avec Pu vis de CLavannes m’est revenue à la mémoire : « Les grandes œuvres, me disait-il, sont celles qui vivent par la pensée qui est contenue en elles, qui y est contisée, comme aussi par la science qui s’v trouve, par la somme de labeur que l’artiste a dépensée pour les faire. En même temps que l’admiration vous saisit par les yeux en présence du tableau dont le sujet se développe devant vous, ils vous vient au fond de votre être une vénération pour l’homme qui est arrivé par son génie, son talent, ses dispositions naturelles, — qu'importe le mot ? — à exécuter cette chose qui vous charme de sa beauté ? »...