Extrait du journal

Permettez, M. Chalamet : si votre logique vaut pour les uns, elle vaut également pour les autres ; et d’aucuis pourraient vouloir en faire bénéficier les ouvriers plutôt que les étudiants? Tout au moins pourrait-on conclure à un partage égal des dispenses? Mais non! pour vous et vos congénères, des étudiants qui ininterrompent leurs études, c’est une calamité nationale; au contraire, des travailleurs qui reviennent danseurs « foyers » — quand ils en ont — en ne sachant plus ou en sachant mal travailler, et qui risquent de mourir de faim, c’est une bagatelle, une quantité négligeable....