Extrait du journal

i Mais cette T/erthe. il Li re doutait trop pour la braver ainsi tout à coup, et il se résigna à attendre encore, à ruser. Dès le lendemain de la scène au sujet ! de Fontainebleau.il se déclara souffrant, attribué >nt son malaise au manque d’exercice, et tous les jours il monta à i cheval deux ou trois heures. ' Il n’allait pas bien; il allait jusque chez M. Courtois. I Berthe, tout d’abord, n’avait rien vu ide suspect à ces promenades du comte jde Trémorel. 11 sortait à cheval et cela {la rassurait, comme certains maris qui fse croient à l’abri de tout malheur parce;que leur femme ne se promène qu’en I voiture. * Mais après quelques jours,- l’examinant mieux, elle crut découvrir en lui lune certaine satisfaction intime qu’il | s'efforçait de voiler sous une contenance fatiguée. Il avait beau faire, il se dégageait de toute sa personne comme un rayonnement de bonheur....