Extrait du journal

On donna dans le splendide décor de Longchamp, que je n’aurai garde de découvrir aux Parisiens, une œuvre magistrale en vingt actes divers, dont le dénouement prouve clair comme le soleil — c’est dire surabondamment — la force de la France eu armes. Il est toujours intéressant de voir une pièce aussi bien montée et qui finit en apothéose. Mais encore une fois j’y levions, qu'il faisait chaud. Par Apollon, qu'il faisait chaud. On geignait pour soi, mais surtout pour les pauvres soldats d’un sou, à qui cette fatigue de parade était imposée pour notre joie patriotique. Hâtons-nous de dire...