Extrait du journal

Lorsqu’un pêcheur, eu regardant Lee bords de l’Océan sauvage, Voit s’ébattre quelque imprudent Le long des sables du rivage, Il crie : Ami, cessez vos jeux, Et que votre fuite soit prompte, Là-bas les flots sont orageux : Prenez garde à vous 1 La mer monti • • » C’est un refrain qu’en ce moment Il faut redire à qui nous mène. On entend le mugissement De la grande marée humaine; De l’ineptie qui la brava Elle est prête à demander compte : R. F., ton prestige s'en va, Prends garde à toi ? car la mer mont* \Gaston JOLMVET^...