Extrait du journal

méro de la Vie parisienne, se laissa tomber dans les bras d’unè large chauffeuse placée au coin de h» cheminée de marbre rose où brûlait un feu vif et clair, et se mit à par courir le moniteur des suprêmes élégances du high-Iife. Quelques minutes s’écoulèrent ainsi, puis une porte dissimulée dans la tenture s'ou vrit sans bruit et se referma de môme, après avoir livré passage à une jeune femme dont les mignonnes bottines à hauts talons fou laient si légèrement l’épais tapis que M. de CroiX-Dieux ne les entendit pas. La jeune femme s’arrêta, — un éclat de rire argentin s’échappa de ses lèvres pour pres, et elle s’écria : — Eh 1 baron l... regardez donc un peu ma petite personne !... — il me semble qu’elle en vaut la peine i... — suis-je assez réu aie comme ça? — qu’en dites-vous ?... —: Absolument adorable, comme toujours, chère Fanny I... — répondit le visiteur en se levant. Fanny Lambert, — car c’était elle — fit une moue délicieuse....