Extrait du journal

On sait que dans le plan Young, tout a été calculé au plus juste pour que les dettes interalliées soient couvertes, plus une part raisonnable des dépenses de réparations. Or, d’un côté, les puissances créancières du Reich, mais débitrices des Etats-Unis, ne peuvent consentir la moindre réduction des versements allemands effectués au titre des dettes interalliées, tant que VAmérique refusera d’alléger ses propres créances sur 1 Europe. D’un autre côté, la fraction de la dette allemande qui couvre les réparations ne peut plus faire l’objet de la moindre atténuation puisqu’elle est commercialisée....