Extrait du journal

Depuis deux ans, en effet, nous vivons sous le coup d'une perpétuelle menace dirigée contre la fortune acquise, par les socialistes do la Chambre, pesant lourdement sur les ministères1, battant la campagne avec arrogance, et ressemblant quelque peu à ce fier-à-bras que Molière met en scène dans les « Fourberies de Scapin », et que rien n’arrête. On a beau lui dire : « Monsieur, l<\s violences en ce pays-ci ne sont point souffertes », — il répond : * Je me moque de tout, et je n’ai rien à perdre ! »...