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Le Petit Moniteur universel, 5 février 1874

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Le Petit Moniteur universel
5 février 1874


Extrait du journal

. — t-.iLitiiiLt:; limée, patience! mes temps meilleurs viendront. Dieu jusqu'ici a voulu h Lires peut-être, je trouverai la récompense vent continuaient à faire rage. de seize années de travail, de recherches et ■ Les deux gentilshommes s’étaient Eissis, de tourments. Si ma fournée réussit, comme comme nous l’avons dit, auprès du feu, je l’espère, loi et ces pauvres enfants vous 1 dont la flamme claire cl pétillante levai ré, aurez tout un ab lance. Nous deviendrons * créait. La maîtresse de la maison prit j riches et le royaume entier... Mais il faut place à l’écart; mais elle demeurait salent que je retourne à mon four. La moindre i négligence ferait manquer cette fournée, | qui est notre dernière ressource... Esther i et toi, restez auprès de nos hôtes pour leur < tenir compagnie; donnez-leur ce que nom-...
Le Petit Moniteur universel (1869-1914)

À propos

Le Petit moniteur universel est un quotidien français, fondé en janvier 1869, peu avant la Commune, contre laquelle il proteste. Prenant la suite du Moniteur Universel du soir, il comporte des suppléments comme un hebdomadaire illustré, et des éditions régionales, à Tours, en Seine-et-Marne et dans le Centre notamment.

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