Extrait du journal

V (suite) Hélène eut un élan, son cœur bondissait, ui, c’était son Üls. Il n’osait pas se nommer, attendait sans doute qu’elle-même prorinçât la première parole de tendresse. Elle ne se contint plus : — Paul! dit-elle. — Ma mère ! ma mère! — C’est toi, mon enfant!... Et troublée, ne sachant plus ce qu’elle Isait, elle lui tendait les bras, avec un ben de le presser contre elle, de l'étreindre. Ils se regardaient avec un sourire peureux, r bien qu’ils éprouvassent un immense heur de se retrouver ainsi, néanmoins, leur restait comme une crainte dans le nd de l’âme... Cette infinie félicité d’uns ère retrouvant son fils, d’un fils retrouvant . mère, était bien aussi mélangée de quelle amertume. Car la mère pensait que ce s, c’était sa faute si depuis bien longtemps le ne l’avait pas vu... Elle avait commis i crime en l’abandonnant.,, et elle ne...