Extrait du journal

Je prends le médecin, car c'est lui qui nous intéresse le plus, puisque nous sommes des millions dartres, plus ou moins souffreteux, à lui confier nos misères. Je vous fa; s immédiatement ma piotcssion de loi. Je suis partisan du secret professionnel, et je suis d'avis mime que l’excès de la discrétion est la première vertu d’un médecin. Nous nu viendrions pas le consulter sur nos maladies, et surtout sur certaines maladies, si nous n avions pas la garantie de son silence; nous pensons môme qu'il doit exagérer la réserve, carie jour où le code admettrait des exceptions, nous aurions plus aucune sécurité....