Extrait du journal

Pour que Paris et sa banlieue, qui, en matière de charbon comme sur beaucoup d'autres points, sont inséparables, fussent à peu près tranquilles pour cet hiver, il nous faudrait recevoir non pas 7.000 tonnes de combustibles par vingt-quatre heures, mais au moins et cela, sans interruption et régulièrement chaque jour. Car, on doit le répéter sans cesse, 7.000 tonnes ne constituent qu'une moyenne. Par conséquent, ji. devrait y avoir pendant les 365 jours de l'année un arrivage quotidien de 7.000 tonmes....