Extrait du journal

Il est à présumer que propriétaires et locataires, fixés désormais sur leurs droits réciproques, se concilieront, soit à l'amiable, aoit devant le magistrat, avant d'aller devant la commission ar bitrale. Ainsi, les difficultés soulevées par l'état de guerre en ce qui concerne les baux se résoudront peu à peu. Ce n'est qu'une loi de liquidation. Il nous restera à prendre, pour le lendemain de la guerre, les mesures plus générales que commandent l'habitation à bon marché et surtout la nécessité d'assurer le loge ment des familles nombreuses. C'est le côté social du problème, et il est autre ment intéressant que l'autre. La loi de circonstance que nous avons dû voter ne nous le fera point mettre en oubli. Henry CHÉRON....