Extrait du journal

Oh la chanson du ruisseau qu'on a connu tout petit soupire une posésie chinoise. Par la patrie, nous prenons rang. dans un développement d'idéalisme qui nous grandit à nos propres yeux et nous entraîne à desachèvements supérieurs, originels élans de notre personnalité. La patrie fait le citoven selon la 'mesure où elle peut l'installer dans une harmonie d'agrégations humaines, d'autant plus belles' que les hommes seront .plus éclairés. Pour ennoblir cette confédération de vies pensant.es, pas d'autres' moyens que de l'amener à croître en désintéressement.. Les réactions de patries à patries feront le tissu des développements de notre histoire pour laquelle il nous faut des cohésions morales de citoyens au lieu, d'une poussière d'individus désemparés. Puis cette comparaison entre le sacrifice ardent du guerrier et l'obscure Abnégation qu'exigent les efforts. de paix...