Extrait du journal

dieux sur le parc de son château du Loiret acquis avec le fruit de tant d'assassinats fictifs quand il y avait dans l'air une douceur de vivre, il épargnait, au moins pour quelques feuilletons, ceux qu'il avait d'abord condamnés. Quelquefois même, il ressuscitait des victimes. Cela ne l'embarrassait point du tout, et tel infortuné, dont on avait déchiqueté le cadavre, qu'on avait jeté au fond d'un puits, reparaissait subitement le sourire aux lèvres, en toilette de soirée, une fleur à la boutonnière, narguant ses exécuteurs....