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Le Petit Parisien, 17 juillet 1908

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Le Petit Parisien
17 juillet 1908


Extrait du journal

« En arrivant, je trouve les talus qui se dressent en face de l'entrée hérissés ds c^nnrs. C'est le vestiaire il n'y en a pas d'autre, au moins pour le public. Point d'ouvreuses, ni d'huissiers. Point de numéros un piquet de police sur.veille la forêt des cannes, dont la plupart sont de rustiques bâtons. Et enacun, en sortant, retrouve son bien. » L'hémicycle, où se tiennent les séances, comporte des fauteuils en soie rouge et des pupitres en bois noir. Quand un député s'assied à sa place, il lève une planchette en bois, où son nom est inscrit c'est une façon commode d'annoncer sa présence. Parmi les « honorables n, les uns portent la tenue, européenne, les autres sont restés fidèles au kimono. L'ensemble est terne cependant. Car si les redingotes sont noires, les Kimonos sont gris. Le président, seul, est en habit noir....

À propos

Le Petit Parisien est un grand quotidien français, publié entre 1876 et 1944. Il était l’un des principaux journaux sous la Troisième République.

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