Extrait du journal

FLEDYE_FMÇAIS Les fleuves sont des être» vivants. Ils paissent, ils grandissent, ils meurent. A mesure qu'ils avancant, ils se mêlent lus activement à la vie du milieu ambiant. Ils deviennent eux-mêmes une source de vie, développant sur leurs rives le commerce, l'animation, créant des villes qui sont, en quelque façon, leurs enfants. Puis leur cours se ralentit. En une nappe majestueuse, ils s'élargissent et se confondent avec la mer, tombeau commun de tous les fleuves du inonde. 4 La France a des fleuves admirables, rayonnant de son centre à ses côtes. Mais, pour les utiliser pleinement, elle n'a pas fait encore tout ce qu'elle aurait dû faire. Reprenant la comparaison que fie viens d'indiquer, on nourrait dire que es fleuves ont, comme les hommes, besoin d'être guidés, contenus, améliorés. De cette éducation de nos fleuves, nous nous sommes trop longtemps désintéresses. Et, le jour où nous avons compris notre faute, nous n'avons pas choisi, oeutêtre, pour la réparer, les moyens des plus sûrs. Un exemple, celui du &hÔQ£, ta me permettre de précise. **•...