Extrait du journal

Des observations qu'il a formulées, et ïlont beaucoup sont intéressantes, j'en voudrais surtout retenir une, que je crois profondément vraie. M. Guex s'étonne de la complexité de nos programmes. Il estime que trop de choses y sont inscrites, que les élèves sont forcés d'étu(lier et trop vite, et trop peu. Dès les classes enfantines, on fait de tout, et de tout, cela va de soi, superficiellement. A mesure qu'on avance dans la hiérarchie des classes, le défaut, loin de s'atténuer, s'accuse. Et, quand on parcourt le programme des dernières années d'études, on a l'impression d'une sorte de folie des grandeurs pédagogiques. A pas de géants, on veut que les élèves effleurent les sommets des connaissances humaines. On leur rend impocsible d'en approfondir aucune....