Extrait du journal

affaire d'appréciation personnelle. Mais ce qui pourrait nous mettre en garde contre la véracité de l'ancien quartiermaître est la façon dont il raconte les débuts de son union intime avec Hindenburg. A l'en croire, ce serait le grand état-major qui l'aurait désigné d'office pour le poste de chef d'état-major de l'armée opérant on Prusse orientale, en lui demandant comme un sacrifice de quitter le front français, pour empêcher « le pire d'arriver dans l'Est ». Et il aurait rencontré pour la première fois, à Hanovre, le août 1914, celui qui allait devenir son chef, au moins 'nominal, jusqu'à la fin des hostilités....