Extrait du journal

ment à la lèvre, la joue et au bras. Quant au général Gouraud, il eut ses deux mnpches traversées chacune par un projectile. L'automobile. du haut commissaire avait à peine distancé les brigands, que celle où se trouvaient le général Goybet et M. Carlier arrivait à son tour. Et, mousqueton au poing, ses occupants s'apprêtaient à ouvrir le feu sur les cavaliers. Ils furent, eux aussi, salués par une volée de balles, mais la.réponse qu'ils y firent mit rapidement les bandits en fuite....