Extrait du journal

Le chef du cabinet travailliste y remercie ce dernier des précisions qu'il lui a fournies sur son point de vue et manifeste le désir de demeurer en relations amicales avec lui. Toutefois, ainsi que nous le martluons plus haut, il n'y est fait aucune mention de la publication éventuelle de cette correspondance. C'est l'ambassadeur de Grande-Bretagne qui. en s'acquittant de la mission qui lui avait été confiée, a. de voix, fait connaître au prèsdrnt du Conseil que le Premier br tannique serait heureux de voir publier leur correspondance, comme le furent d'ailleurs les autres lettres personnelles échangées par eux depuis l'arrivée au pouvoir du gouvernement travailliste. M. Poincaré s'est naturellement empressé d'informer le marquis de Crewe qu'il ne voyait aucun inconvénient, au contraire, à cette publication et l'a pri" d'en aviser M. Mac. Donald en lui transmettant, ses remerciements pour sa dernière lettre....