Extrait du journal

Quelques éléments appartenant à deux bataillons de la police militaire se sont soulevés hier et ont eu l'idée extravagante d'aller attaquer le ministère de ta Guerre. Certes, la fusillade a été nourrie pendant quelques minutes. Pendant quelques instants, une légère panique a désorganisé la ville. Les magasins ont à nouveau abaissé leurs rideaux de fer. Hommes, femmes et enfants se sont réfugiés, apeurés, où ils ont pu. Et les mitrailleuses ont fait entendre leur tic-tac sinistre. Et quelques tanks ont effectué une petite sortie. Mais cela n'a rien éfé. Cela ne pouvait rien être. 11 semble bien certain que, pour le moment, toute tentative contre révolutionnaire...