Extrait du journal

al. payées, mal ravitaillées, toua purs prêtes à se débamj£X,L£timuen le zèle patriotique ses Etats, {non encore unis par un fort lien {national, trop ménagers de leurs {ressources, prompts à se lasser du sacrifice, et d’ailleurs travaillés par un fort, élément a loyaliste » : c’est à quoi il s’est employé avec tute fermeté indomptable. La vie noire fut due à sa ténacité, à sa (grandeur d’âme, à la hauteur de yens vues politiques — et à l’aide de lia France... f « Les opérations militaires vache tes, la tâche n’était qu’à moitié (accomplie. Car, si le pays s’était Rêvé d’un élan unanime pour con quérir sa liberté, une fois le danger passé le particularisme des Etats lavait reparu. Pendant les négocia étions pour la poix, alors que Targuée anglaise, encore cantonnée dans plusieurs villes, pouvait d’un tour à l’autre reprendre l’offensive, de gouvernement précaire de la )e Confédération » ne se souciait Ïses de payer et d’approvisionner es troupes américaines. Washington les entretint pendant un temps idem ses propres ressources en vioqui dont une partie de son domaine. {Cét abandon n’était pas seulement grave en soi, c’était le signe de U’àmpuissance où étaient les Etats de faire passer l’intérêt général cuvant l’intérêt particulier, c’est-à dire de se conduire comme une {nation....