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Le Petit Provençal, 4 mars 1912

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Le Petit Provençal
4 mars 1912


Extrait du journal

11 y a, avec la R. P., nombre de voix perdues, ou qui restent sans blet. Par exemple, les voix des listes qui ne réunissent pas le chiffre de suffrages suffisant pour avoir droit à un représentant ; ou si elles en ont, les suffrages quelles obtiennent en sus du nombre qui leur donne Ji oit à leur chiffre d élus, c'est ce qu’on appelle les restes. Kh bien ! pour les utiliser, on a proposé de permettre aux listes de « s'apparenter », c’est-à-dire de se déclarer solidaires jusqu à un certain point d’autres listes : auquel cas, pour l'attribution des derniers sièges à pourvoir, on considère que leurs électeurs ne forment qu’un bloc avec ceux de la liste apparentée, et l’on réunit en un total unique le chiffre des voix qu’elles ont obtenu....

À propos

Le Petit Provençal fait suite à La Jeune République, fondé en 1876 par Geoffroy Velten et Jean-Baptiste Chanot. Publié à Marseille, il affirme sa place à la gauche de la ligne politique du Petit Marseillais et consacre sur plusieurs pages des rubriques importantes sur les sports (cyclisme, football, tauromachie, tennis, athlétisme, etc.). Bien qu'ayant publié en « une » l'appel du 18 juin 1940, le journal basculera dans le camp du régime de Vichy sous l’Occupation. En conséquence, il sera interdit à la Libération.

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Données de classification
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