Extrait du journal

J'avoue qu au milieu des partis qui divisent ia France. il me 'semblait que lEqhse avait autre chose a faire qu'à nitïcr aux blessures toute> vives ces /t nuent de disputes que le jésuitisme apporte toujours avec lui. Dans le chaos des opinions, il eut été beau de voir l'Eglise de Fiance, seule, treenquilie. pacifique. conciliante. quand tout 's'agitait autour d'elle... Demeurer calme dans tes tempêtes civiles, voila vraiment la marque du doigt de Dieu. Au contraire, on prend a tâche de faire passer dans l'Eqlise le tempérament fiévreux de la politique quotidienne. L'agitation, l'irritation. les habitudes mesquines de l esprit de parti, se communiquent à la, Cité sainte. Si l’on obéit à l esprit de notre temps, ce n'est pas dans ce qu'il a ac grand, mais dans ce qu'il a de petit. On repousse ce qui en fait véritablement la vie religieuse. Je veux dire l'esprit de conciliation, d'unité profonde, d'impartialité, fondé sur le sentiment de plus en plus distinct d une commune alliance Ce que l'on emprunte à son époque, c est ce quelle a de plus entéheur : esprit de querelles, polémiques. menaces de tribunaux, évangile de bruit et de tumulte. Un nouvel hymne sorti du cœur parlerait plus haut çme tout cela, u ....