Extrait du journal

Et M. Smuts d’ajouter : « En vérité, la sauvagerie indigne et barbare avec laquelle ces malheureux lurent traites dépasse tout ce que l’homme peut imaginer. » Ent.n. M. Smuts, ayant sans doute eu connaissance des articles de protestation de la presse française. termine sa lettre en ces termes : « Je lis dans les journaux de l’étranger que le traitement des femmes et des enfants internés soulève l’indignation générale, mais si le monde savait ne fut-ce qu’un centième de ce que les Anglais ont lait ici. dans les Etats libres, toute la chrétienté déchirerait ses vêtements et appellerait le châtiment du ciel contre cette indescriptible barbarie. »...