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Le Petit Provençal, 14 février 1895

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Le Petit Provençal
14 février 1895


Extrait du journal

Et comme tout s’enchaîne, la culbute de Constans n’a pas tardé à amener celle de beaucoup d’autres dont il croyait avoir à sc venger et qu’il n'a pas plus ménagés qu’ils ne l’avaient ménagé lui-même. Sans la conduite où pour cette fois Grenoble avait été remplacée par Marseille, non seulement l’horrible associé de tripot de Toulouse serait peut-être encore debout, mais, sans aucun doute, Bouvier, Jules Roche, Thé vend et beaucoup d’autres, n’auraient connu les longues attentes dans les galeries des juges d’instruction, pas plus que les mandats de comparution transformés pour quelques-uns en mandats d’amener, et Baïhaut ne serait probablement pas à cette heure le plus distingué des locataires de la prison d’Etampes....

À propos

Le Petit Provençal fait suite à La Jeune République, fondé en 1876 par Geoffroy Velten et Jean-Baptiste Chanot. Publié à Marseille, il affirme sa place à la gauche de la ligne politique du Petit Marseillais et consacre sur plusieurs pages des rubriques importantes sur les sports (cyclisme, football, tauromachie, tennis, athlétisme, etc.). Bien qu'ayant publié en « une » l'appel du 18 juin 1940, le journal basculera dans le camp du régime de Vichy sous l’Occupation. En conséquence, il sera interdit à la Libération.

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Données de classification
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