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Le Petit Provençal, 14 juillet 1926

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Le Petit Provençal
14 juillet 1926


Extrait du journal

D'autant qu’on s’y trompe — ou j Le problème matériel à résoudre | qu’on feint de s'y. tromper Le | en premier est celui du pain. Le ; Français moyen ne peut que bien peuple grogne et il n'a pas tort ; ! rarement se payer le spectacle ou les ménagères se lamentent en i s on un passable dîner. Mais les i attendant qu'elles s'exaspèrent, i théâtres ont fait lo2 bullions ae Grave, très grave péril ’. Le brou- recettes, es cinémas 11., les ciré langer qu'on commence it regarder i bues et skatings 13, les dancings de travers, vu que c'est le seul 13. Les muses. parents pauvres, qu'on connaisse, vous renvoie au n'enregistrent que deux millions, minotier - le minotier au marchand : Lt les boites de nuit sont pleines de blé; le marchand de blé à X... J où la tisane de champagne est taspéculateur —— X... invisible et i rifle cent tracs. anonyme que seule une loi peut | Mais nue habitanie'de Xeuilly,...

À propos

Le Petit Provençal fait suite à La Jeune République, fondé en 1876 par Geoffroy Velten et Jean-Baptiste Chanot. Publié à Marseille, il affirme sa place à la gauche de la ligne politique du Petit Marseillais et consacre sur plusieurs pages des rubriques importantes sur les sports (cyclisme, football, tauromachie, tennis, athlétisme, etc.). Bien qu'ayant publié en « une » l'appel du 18 juin 1940, le journal basculera dans le camp du régime de Vichy sous l’Occupation. En conséquence, il sera interdit à la Libération.

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Données de classification
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