Extrait du journal

La question capitale de la sauve raineté de l’Etat, posée une fois de plus dans les conditions que l’on sait, par la crise anglaise, préoccupe vivement tous les hommes politiques qui ont le sens de leur responsabilité. Elle vient de faire l’objet d’un asti le de M. Painlevé dans la Dépêche de Toulouse. M. Painlevé a été le chef d’un Cabinet de Cartel. Il a, du moins, détenu la présidence du Conseil, après M. Herriot, au cours de cette année 1925, si dramatique par l’accumulation, d’échéances que l’impéritie du 31oc national avait préparé au Cartel. On se souvient qu’avec l’esprit de décision que seuls lui contestent ceux qui préfèrent la légende à l'histoire, il avait été cher cher à Mamers M. Joseph Caillaux pour lui confier le portefeuille des Finances. Six mois plus tard, sans vote des Chambres, à la veille de la rentrée parlementaire, il se séparait de M. Caillaux. Les dessous de cette crise sont généralement ignorés. Un hasard heureux m’a permis, à l’épo que, de les voir de très près. J’en ai gardé le souvenir précis. La dicta bure de l’argent avait trouvé là l’occasion de s’exercer et de staffer mer. C’était, il est vrai, à la faveur d’un désaccord de doctrine qui opio sait à M. Caillaux la presque auna imité des partis de Gauche. Elle devait par la suite, prendre divan tale conscience de sa force et dé couvrir plus brutalement son jeu....