Extrait du journal

rt de toutes les corvées la funèbre est la fs pénible, surtout l’été. Endosser un vêtent sombre, se serrer le cou dans un merlu de toile raide et marcher retenue en in soleil derrière un cercueil est, quoi e ce qu’on voudra, une mauvaise affaire. >i mauvaise que je sais des gens qui, lorsil ne s’agit que d’une « relation .» ou d un vent d’ami, s’excusent par lettre après la émonde, prétextant qu’ils ont su le occis avez-vous entendu parfois ce qui se dit derre un corbillard à l’époque de la canicule, r le coup de trois heures de l’apres-nudi f — On n’a pas idée d’enterrer les gens à :te heure-là. , . , — Moi je suis descendu exprès de la camé Mettre un col, des bottines, quelle scie ! aurait bien pu attendre encore un peu pour surir. . ,, , Mais si le même défunt a stipulé dans son étament qu’il ne veut personne à ses funéUes, voici ce qu’on entend : — En voilà un original 1^ — Moi, j’ai toujours pensé qu’il n’état pas :n équilibré. , .A -En somme, c’était un être parfaitement sociable. . , . Car il est rare que, rendant justice à ce )rt exemplaire, on dise de lui : — Brave un Tel, qui nous donne une der;re preuve d’amitié en nous dispensant d’un de embêtement....