Extrait du journal

Puis ces repas si gais, — malgré le carême et les quatre-temps — pris en famille dans un restaurant du boulevard. Et ces soirées si pleines d’intérêt où des voix éloquentes, persuasives, vibrantes de patriotique émotion, venaient, tout en nous instruisant encore, nous reposer des géantes de la journée. Peut-on faire un plus bel éloge de ces réunions qu’en disant que tous les délégués soupirent ardemment déjà après le prochain congrès ? Et je ne crois pas me tromper en affirmant que dans tous les comités on enviera celui que le sort aura désigné comme représentant. C’est au café de la rue Richelieu que je fus mis pour la première fois en rapport avec la plupart des délégués régionaux et avec Messieurs les membres des Comités parisiens qui nous offraient un punch. Là, invité à l’improvise, par M. de Massue,à prendre e la parole.je ne pus, par défaut de préparation, qu refilezp-p une idée que je crois utile de menrondrl ,7’' car elle résume et met fout à fait au po-^'e programme et le but de l’Union nationu.?-...