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Le Phare de la Loire, 12 février 1870

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Le Phare de la Loire
12 février 1870


Extrait du journal

n’en pouvait être autrement, ne jeunesse ardente et généreuse quelle on imposait silence a pu du • au lendemain se trouver en posions d’une liberté tolérée, suspecte récrire ; elle en a largement usé, s le reconnaissons, pour dire ce ,11e voulait, ce qu’elle espérait, vers l but tendaient ses efforts. Car ces kits loyaux ne savent rien dissimuliez taire. Quelque chose les pousse rivant. C’est l’enthousiasme des belminées et des fortes convictions. Un élan ne peut être modéré par les seins d'une sagesse vulgaire, mais chien il devient facile aux politisé d’une certaine école d en tirer ti au profit de leurs desseins commis. combien il est aisé de devin les plans basés sur des entameUs inévitables et sur des actes sureit prévus. vous venons d’assister à un drame pistant et nous restons fidèles à nos lies sympathies, à notre drapeau, face delà réaction de 1870, comme s étions demeurés parmi les dé-^ purs du droit et de la Justice, en* . de la réaction de 1849....
Le Phare de la Loire (1844-1944)

À propos

Le Phare de la Loire est un quotidien régional fondé à Nantes en 1844 par Charles-Victor Mangin. Le journal disparait une première fois en 1851, en raison de son opposition à Louis-Napoléon Bonaparte. En 1876, le périodique est repris par le républicain Georges Schwob qui en fait le principal quotidien de la région nantaise. Dès l’affaire Dreyfus, la ligne éditoriale du journal vire au nationalisme.
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