Extrait du journal

Mai* il faut d’abord commence* par le commencement, c'est-à-dire faire de bons ouvriers et de bons spécialistes. C’est le problème de l’apprentissage dont M. Biche Ion ne nous disait I' autre jour qu'il était le plus grave et le plus angoissant de notre proche avenir. Il doit être la base même de l’effort français. La situation de l’apprentissage est effrayante à un moment où. en vu« des tâches de reconstruction de la paix, fou^ devrions nous préparai à multiplier au moins par cinq le nombre des ouvriers spécialisés II n’y a même pas unité de vues, puis qu’au moins quatre ministères set occupent. Il est vrai que, sur le clan professionnel, l’apprentissage der* dépendre, en théorie, de la Charte du Travail. Mais il serait grand temps ed passer aux réalisations, de fixer le contrat d’apprentissage, la rémunération de l’apprenti afin que des parents peu clairvoyants ne soient pas tenté de faire de l’enfant, même bien doué, un simple manoeuvre, afin nu’il rapporte tout de suite- Nos écoles sont tirs insuffisantes et n’utilisent pas encore les méthodes modernes depuis longtemps en pratique en Suisse, aux Etats-Unis, en Allemagne....