Extrait du journal

Nous n’avions plus été accoutumés, depuis le départ de M. Sforza, à une entente aussi cordiale avec l’Italie. C’est une raison de plus pour nous féliciter d’un heureux rapprochement. Peut-être que, au moment où l’Italie négocie un traité semblable, la mauvaise humeur témoignée par l'Angleterre contre notre traité avec les Turcs d’Angora a convaincu les Italiens de l’entêtement, regrettable du Foreign Office dans sa dangereuse politique ? Les correspondances de Constantinople montrent le général Pelle marchant d’accord avec son collègue italien pour redresser là-bas les erreurs britanniques. Tl est donc bien possible qu’une communauté de vues dan= le proche Orient ait contribué à mettre fin à un douloureux et trop long malentendu....