Extrait du journal

L’autre jour, M. de Pieyre, député légitimiste d’Uzès, écrivait nue lettre en ce sens Hier, à la Chambre, M. Brnidry d’Asson avec un attendrissement quelque peu sus pet el dans un but de popularité infères sue, demandait au gouvernement de venir au secours des ouvriers de Paris. Celte de mande a été écartée par la Chambre, et elle devait l’être, puisque le cabinet, avant la demande du député royaliste, avait jarreté, en faveur des ouvriers parisiens, les mesures dont il a été question plus haut....