Extrait du journal

le- cercles parlementaires de Versailles, parut d’abord fort loin d'être irréprochable. Un croyait y reconnaître des concessions lâcheuses. On se demandait si le couverncmenl n’avait pas trop abandonné la position qu’il axait prise d'abord. Deux équivoques surtout semblaient caractériser le projet. La première était celle de l’époque fixée. Dire que l’Assemblée ne se séparera pas sans avoir statué, n’est-ce pas lui laisser la liberté de «léfén-r son travail jusqu’au dernier moment ? Et, «l’un autre coté, l'expression d’organisation et «b- transmission «les pouvoirs publies ne laissait-elle pas la porte ouverte à rétablissement «l'une nouvelle forme de gouvernement aussi bien «|it'à la consolidation de la forme actuelle ?...