Extrait du journal

BULLETIN POLITIQUE Nantes, 23 avril. L’événement justifie pleinement nos avisions et nos défiances. La formule du plébiscite ne répond bellement à la vérité des situations. On s’est appliqué à embarrasser les acteurs progressives ; on a voulu fil leur fût impossible de protester antre les droits que détient le chef ! l’Etat, sans déclarer qu’il ne fallait tint introduire dans la Constitution s réformes libérales imposées à rentre, subies par lui et dont il se lait maintenant un titre à la confiance poil aire. Ce jeu double, cette ruse nouvelle ( tromperont qu’un petit nombre de vifs. La niasse intelligente des vont comprendra qu’il y a là tout aui chose que de la droiture. Au fond, ?st un satisfit que l’on demande au ly3| c’est la ratification d’une rouvre ii a pour but de fortifier le pouvoir personnel contre les exigences du bêlement. L’empereur veut qu’on vote à la fois >ur la liberté et pour le despotisme, confond habilement deux questions afférentes en une seule. Il dit : Etesvus satisfait des réformes réalisées et julez-vou» rendre la Constitution immuable, en laissant à l’empereur un ,avoir supérieur à celui des Cham’es puisqu’il aura seul la permission j consulter le pays et puisque, sans insulter la représentation nationale, pourra rouvrir l ère funeste des lut— s armées ?. ... jour que la pensée publique put re exprimée complètement, il faudait q ue l’on eut la faculté de répond oui à la première partie du plusuite et non a la seconde. Cette pesante n’existant pas, et pour cause, il le hésitation n’est permise, nul gueule de conscience ne saurait travers la manifestation d’une résisté nécessaire et impérieuse....