Extrait du journal

Il y a quelques jours, dans une de ocs chroniques où je m’efforce de noter au jour le jour les manifestations de la m vie » à Paris, je parlais du divorce de Colette et de Willy et je ne produisais quelques «phrases des lettres plus ou moins doucereuses par ‘lesquelles les doux ancrions associés avaient expliqué leur cas. Je vous jure tous les grands dieux de la création, comme disent les commères, que je ne pensais pas à mal et que, citant des fragments de biillvls qui n'avaient pas été relevés ait leurs, je comptais ne froisser les susceptibilités de «personne, et surtout pas de Mme Colette Willy dont j’admire le talent très •personnel II paraît que je me suis trompé, puisque l’étoile du concert de ta Gaîté-lUx1 hœhouart a cru devoir m'envoyer une lettre de rectification, ou plutôt de revendication, pour nie démontrer qu’elle doit être tenue pour responsable de ces délicieuses « Claudine » qui eurent le succès que vous savez....