Extrait du journal

Notre confrère commence par écarter tout revenez-y vers l'Union Nationale. Il oppose aux discours de Gray et de Delle, une fin de non recevoir catégorique. L'Union Nationale, c'était bon au temps du « tour de force » Poincaré, mais on ne recommènce pas les tours de force à volonté, pas plus que les miracles. On ne peut donc penser aujourd'hui qu'à des majorités relativement homogènes, basées sur des programmes et sur des principes. Et, puisque aucun parti n'est assez fort pour détenir la majorité à lui s'eul,il faut rechercher quels groupements de partis, ou plutôt quels « groupements de' groupes » sont actuellement concevables....