Extrait du journal

de cent, vingt-cinq< J'ai longtemps cru que dans la pensée de M. Poincaré il s'agissait d'un palier d'attente, qu'arrêté dans ses desseins par la crise économique que nous lui avions prédite, il n'avait fait cependant qu'en ajourner l'exécution. J'ai cru — et je l'ai écrit ici même, — qu'il se réservait de repartir d'ici quelques mois, à la première occasion propice, et d'entamer une nouvelle tranche de revalorisation. Je l'ai cru, je ne le crois plus- Je pense maintenant qu'il tient l'état de choses actuel pour désormais acquis, c'est-à-dire, qu'à la stabilité de fait, il entend faire succéder la stabilisation légale.,...