Extrait du journal

Mais nous pensions cependant que les journées du C et du 12 lévrier constituaient quelque chose de nouveau, et que ni vous ni nous n'avions le droit de ne pas tenir le plus grand compte du mouvement spontané par lequel la masse travailleuse de ce pays avait manifesté par ses actes son désir de cohésion et d action commune. Nous pensions encore nous qu; n'avons jamais cessé, de souhaiter la reconstitution de l'unit»! ouvrière et de saisir toutes les occasions qui permettraient d'y travailler utilement — nous pensions que ce mouvement spontané était le symptôme heureux d'une volonté d'unité encore obscure mais profondément enracinée dans ls coeur de la classe ouvrière....