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Le Progrès de la Côte-d’Or, 2 mars 1912

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Le Progrès de la Côte-d’Or
2 mars 1912


Extrait du journal

Parmi iss divers individus que les t^*d’un de ses derniers enfants, vous l’avez laissée sans soins. L’accusé. — Ce n’est pas possible. M. le Président. — Elle se plaint que vous la brutalisiez. Elle dit qu’un jour, dans un accès de colère, vous avez brisé une vitre ? R- — C’est mon second fils qui l’a cassée. M. le Président. — Fai défendant sa mère contre vous... Vous lui jetiez des objets à la tête, et vos enfants, témoins des scènes, lui ont toujours donné raison. Lanier. — Quand je suis revenu du tribu nal de Beaune, je loi ai demandé ce qu'elle pensait faire. < Va où tu voudras, m'a-t-elie répondu, moi je ne veux pas aller à la campagne ». Je me suis rendu à Maconge pour expliquer à mes parents ma situation. Ils m ont dit, après deux j ours elle va re venir. M. le président. — Non, votre femme af firmé que vous êtes parti sans vous occuper d’elle en lui disant que vous vouliez vous débarrasser de vos dettes et de votre fa mille ?...

À propos

Le Progrès de la Côte-d'Or était un journal républicain radical basé à Dijon, fondé en 1869 par l'homme politique Joseph Magnin, conseiller municipal de Dijon puis membre éminent du gouvernement de la Défense nationale et enfin sénateur innamovible. Grand titre de presse régional, il cessera finalement de paraître à la Libération, en 1944 comme la plupart des journaux ayant continué de paraître sous l'Occupation.

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