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Le Progrès de la Côte-d’Or, 14 septembre 1938

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Le Progrès de la Côte-d’Or
14 septembre 1938


Extrait du journal

Nous avons connu, en des heures douloureuses où les Français ne s’aimaient pas, le « faux patriotique »... Nous avons aussi connu les « faux bilans de trésorerie », au temps que le plafond financier fut crevé... Le « faux diplomatique » est à la base de toutes les négociations ou conflits internationaux... La « fausse nouvelle » court les rues au point que M. Daladier a renoncé à la faire arrêter... Nous avons aujourd'hui le « faux syndicaliste », après tous les « faux » qui furent mis en à 204 francs. Les gens de la ville se circulation sous les ministères de front populaire. sont écries aussi : ces paysans, on C’est l’Union syndicale des ouvriers et ouvrières métallurgistes de la région parisienne qui...

À propos

Le Progrès de la Côte-d'Or était un journal républicain radical basé à Dijon, fondé en 1869 par l'homme politique Joseph Magnin, conseiller municipal de Dijon puis membre éminent du gouvernement de la Défense nationale et enfin sénateur innamovible. Grand titre de presse régional, il cessera finalement de paraître à la Libération, en 1944 comme la plupart des journaux ayant continué de paraître sous l'Occupation.

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