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Le Progrès de la Côte-d’Or, 18 mars 1902

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Le Progrès de la Côte-d’Or
18 mars 1902


Extrait du journal

IX Un mouton enragé — Je pars pour un ou deux jours... Tu n’as rien à craindre ici... Tu es entourée de braves et fidèles serviteurs. Demain soir, au plus tard, je serai de retour, du moins je le pense. — Vous avez donc bien besoin de vous éloigner ï — Oui. — Vous ne pouvez pas remcUre ce voyage? — Impossible. Elle soupira : — Si vous saviez pourtant comme votre présence me fait du bien I Vous m’aimez, vous I — Oh 1 oui, chère enfant, et de toute mon ftmel — Vous ne voulez pas me dire le but de ce voyage ? Il secoua la tête. — Seulement, tu peux être sûre que je ne serai pas une minute sans penser à toi ! — Allez donc I La tendresse d$ ce vieux célibataire en durci qui n'avait voulu accepter aucune des charges du mariage et qui cependant léoaoi*...

À propos

Le Progrès de la Côte-d'Or était un journal républicain radical basé à Dijon, fondé en 1869 par l'homme politique Joseph Magnin, conseiller municipal de Dijon puis membre éminent du gouvernement de la Défense nationale et enfin sénateur innamovible. Grand titre de presse régional, il cessera finalement de paraître à la Libération, en 1944 comme la plupart des journaux ayant continué de paraître sous l'Occupation.

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