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Le Progrès de la Côte-d’Or, 20 mars 1873

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Le Progrès de la Côte-d’Or
20 mars 1873


Extrait du journal

« Je résume ici les dernières volontés de mon maître, parce que, moi qui les conu iis tout entières, et l'honorable notaire qui ne les sait qu’en partie, nous pouvons mourir avant le jour marqué pour ouvrir le pli cacheté de feu monsieur de NoireIsle. Or, l’expérience m’a tellement dé montré la cupidité naturelle des hommes, que je crois de mon devoir de créer un con trôle au successeur possible de M* BernardMontel, si le doigt de Dieu, on me touchant, m'empêche de revendiquer, pour ma pu pille, à l'heure marquée, la mise en pos session légale des richesses confiées à ma lovauté. *< Et maintenant, sur ma foi de chrétien et mon salut éternel, je déclare que la jeune fille portant le médaillon où je vais...

À propos

Le Progrès de la Côte-d'Or était un journal républicain radical basé à Dijon, fondé en 1869 par l'homme politique Joseph Magnin, conseiller municipal de Dijon puis membre éminent du gouvernement de la Défense nationale et enfin sénateur innamovible. Grand titre de presse régional, il cessera finalement de paraître à la Libération, en 1944 comme la plupart des journaux ayant continué de paraître sous l'Occupation.

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