Extrait du journal

Avons-nous eu tort, ou raison, de prêter de ♦l'argent à la Russie du tsariste ? La question a été posée hier à la Chambre par Al. Moutet. M. Kiotz a fort justement népondu : « Attendez la victoire ; vous ferez après de l’histoire. » Les nombreux applaudissements de la Chambre ont prouvé que ie ministre avait trouvé 4a vraie formule. Sa réponse s'inspire de •l’inaltérable bon sens du fataliste, lorsqu'il fait dire à l'enfant, en tram de se noyer, pendant que, du rivage, le m agis ter lui administre un discours : Tire-moi d'abord du danger, tu feras après ta harangue....