Extrait du journal

C’est de toute justice. Mais nous entendons notre grand argentier s’écrier, non .sans une certaine angoisse : « Je suis totalement d'accord avec vous. Mais si l’Allemagne refuse de s'exécuter, si elle tergiverse, si elle gagne du temps, qui, pour elle comme pour nous, est plus que jamais de l'argent, où voulez-vous que je puise, pour faire face aux inéluctables exigences financières ? Mon devoir est de ne rien laisser au hasard, de prévoir le refus ou le retard de la part do l’Allemagne et de prévenir une catastrophe. Ce devoir, je. le remplis, en envisageant les éventualités et les solutions possibles •>....