Extrait du journal

Lorsque pour la première fois après les élections du mois de juillet 1871, le mot de dissolution fut prononcé par quelques hommes résolus , d’autres plus timides ou plus sages pensèrent qu’il fallait attendre, que l’heure propice ne pouvait venir tant que la France resterait au pouvoir de l’ennemi. Mais les uns et les autres comprenaient dès lors que plus tôt viendrait cette heure, mieux il en irait pour les intérêts du pays. D accord sur le fond des choses, ils ne pouvaient être divisés que sur une question d’opportunité et le plus grand bienfait peut-être qui résulte de la dernière convention avec 1 Allemagne est d’avoir fait disparaître cette difficulté....